L’université n’est pas un squat pour clandestins !

Paris 8, Reims, et récemment le campus Jussieu de la Sorbonne ; depuis quelques mois nos universités sont prises d’assaut par des groupes de clandestins principalement issus d’Afrique subsaharienne.Ne pouvant prétendre au statut de réfugiés, ils prétextent des situations personnelles « compliquées » masquant souvent des motivations purement économiques. Un manque de courage politique sur le plan migratoire leur permet malheureusement de n’être pas immédiatement expulsés du territoire ou reconduits à la frontière, ce qui génère ce type d’errances et de nuisances. En 2016 le ministre du Logement Emmanuelle Cosse expliquait qu’accueillir à domicile un réfugié était une « initiative citoyenne » légale et possible en France. Dont acte ; nous invitons nos bonnes âmes complices des « occupations » illégales à suivre cette proposition généreuse qui ne prend pas en otage les étudiants et le personnel de l’Université.Nous regrettons toutefois que ces efforts ne soient pas mis au service de nos compatriotes dans le besoin, au nom de la solidarité nationale. Mais Rousseau, malgré tous ses défauts, nous avait averti : « Tel philosophe aime les Tartares, pour être dispensé d’aimer ses voisins » Face à cette extension du domaine de la clandestinité, seule la fermeté peut prévaloir : État et administration universitaire doivent mettre un terme à ces pratiques afin d’empêcher la dégradation des conditions de travail des étudiants et la transformation de l’université en squat « pour tous ». Rappel : l’article L622-1 du Code des étrangers (CESEDA) énonce : « Toute personne qui aura, par aide directe ou indirecte, facilité ou tenté de faciliter l’entrée, la circulation ou le séjour irréguliers d’un étranger en France sera punie d’un emprisonnement de cinq ans et d’une amende de 30 000 euros ».
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