L’écologie en politique

Écologie et identité

Un des grands oubliés de la question écologique est l’identité. L’homme a besoin d’enracinement, il naît au sein d’un peuple, d’une nation et d’une culture qui se sont développés sur un territoire géographique déterminé. Les groupes humains ont des territoires qui leur sont propres, des biotopes naturels qu’il faut respecter. Chaque peuple doit ainsi chérir cette terre et la conserver, en participant à son embellissement et sa fructification. Vouloir sauver une planète uniforme sans considération pour toutes les particularités qui existent sur la terre est tout simplement désespérant. C’est pourquoi nous appelons à une écologie des peuples, où les hommes ne sont pas noyés dans un multiculturalisme où les êtres humains sont tous identiques. Joseph de Maistre disait : « J’ai vu au cours de ma vie des hommes de toutes sortes, mais l’homme en tant que tel je ne l’ai jamais rencontré. » Il est donc nécessaire de recouvrer une biodiversité de cultures et de peuples, qui permettront de retrouver le sens de l’altérité.

L’immigration est aussi un élément à prendre en compte si l’on veut mener une politique économique complète. Elle est en effet irrespectueuse de la diversité des peuples et des cultures, puisqu’elle menace de faire disparaître les populations européennes, et elle déracine les populations qui se retrouvent dans des pays dont la culture est très différente de leur mode de vie traditionnel. Mais elle a aussi un impact direct sur la dégradation de la nature. En effet, les bateaux affrétés pour transporter les masses d’un point à un autre polluent considérablement la mer, de même que les frontières témoignent de l’abandon de déchets dans la nature au moment des passages de convois de migrants. Enfin, les populations qui viennent sont pour la plupart issues de sociétés traditionnelles qui n’ont pas été contaminées par le modèle ultra industriel et de consommation de masse. Or, en arrivant en Europe, ils l’adoptent tout en n’élevant pas leur niveau de vie.

Ecologie et ambition scientifique

Contre le déclin anthropologique des Européens et la folie nihiliste de la gauche, une autre voie est possible. Celle-ci tire les conséquences logiques des avancées scientifiques des dernières décennies. L’obscurantisme de gauche nie les différences biologiques entre les hommes et les femmes, jusqu’à l’idée même de sexe ; il transforme l’altérité des peuples en magma indifférencié (au mépris de la recherche génétique) ; il combat les lois de la nature au nom de son dogme égalitariste. Loin de ces chimères, l’heure est à la défense de la vie contre ce qui la menace.  Dans une perspective biopolitique et archéofuturiste, l’association intime et nécessaire des vérités des Anciens avec les technosciences du futur, sous l’égide d’une forte volonté politique, permettra de réconcilier l’homme européen avec sa nature. Une harmonie retrouvée qui réveillera la volonté de puissance qui sommeille encore dans les cœurs de la jeunesse non conformiste.

Contre l’écologie punitive : une écologie enracinée

La gauche, qu’elle soit marxiste ou libérale, prétend défendre la nature. En réalité, tout ce qu’elle offre à la jeunesse française, c’est une écologie punitive qui compte les grammes de carbone rejetés dans la nature, ou qui vérifie que l’on a réalisé correctement son tri sélectif. Ces politiques sont hypocrites, puisqu’elles conduisent à la réouverture des centrales à charbon, au saccage des paysages, à l’appauvrissement généralisé de la France et à la négation même de la vie.

Plutôt que d’appeler à la castration des jeunes Européens, la défense d’une écologie authentique et enracinée est à la seule à même de sauver à la fois notre nature humaine (notre civilisation) et la nature sauvage. La natalité autochtone, socle de notre vie, et par conséquent de notre nature, doit être encouragée le plus possible, ne serait-ce car nous sommes les seuls à réellement nous soucier du sort de la Terre. Nous ne défendons pas seulement la nature, nous sommes la nature qui se défend.

Les mesures que nous appelons de nos vœux sont simples. Ils concernent en tout premier lieu une reprise en main de notre économie : réindustrialisation et relocalisation des usines françaises au maximum, valorisation des entreprises nationales, relance de l’énergie nucléaire, remise en cause du libre-échange débridé et défense d’une agriculture saine et naturelle par une politique protectionniste à tous les échelons (régional, national et européen). Il est également nécessaire de stopper tous les flux d’immigration entrants, et de mettre en place, rapidement, une politique de remigration. Enfin, il est vital pour notre peuple de mettre en place des politiques qui instiguent le repeuplement et la revitalisation de nos campagnes, ainsi que la protection accrue de nos espaces naturels. Mais nous devons surtout en finir avec les mesures pseudo « écolos », reposant sur des calculs hasardeux à court terme.

La mondialisation est un fléau tant économique qu’écologique, et ce n’est pas l’idéologie cosmopolite et internationaliste de la gauche, prétendument écologiste, qui saura y remédier. Face au règne de la laideur, nous opposons la beauté. Face au culte de la faiblesse et du renoncement, nous opposons l’excellence et l’exigence. Face au nihilisme, nous avons la nature comme socle. 

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