Pourquoi nous voulons les noms

La mort d’Axelle, jeune et belle femme française de vingt-trois ans, dans des circonstances absolument atroces, a suscité une vive émotion et une vague de colère sur les réseaux sociaux. Nous n’avons aucun doute que ces sentiments seraient également et naturellement partagés par une immense partie du peuple français si les médias daignaient donner à ce drame la visibilité qu’il mérite.

Axelle est loin d’être la première victime de l’ultraviolence des sociétés ouvertes et, malheureusement, elle ne sera pas la dernière à moins d’une intervention divine.

Axelle est ce qui tout à l’heure, ce soir, cette nuit, demain, après-demain peut tous nous attendre. Chez nous, en traversant la rue, en ne changeant pas de trottoir, en ne baissant pas la tête, en ne descendant pas du bus. « Au mauvais endroit au mauvais moment » : ce qui ne devait être que le refrain d’une chanson est le sort qui nous guette tous.

Non, il ne s’agit pas de « certes terribles » mais « inévitables » accidents de la vie, comme il s’en produit tant d’autres. Se faire renverser volontairement par une voiture et être trainée sur plusieurs centaines de mètres, ce n’est pas comme être fauché par un automobiliste endormi sur le bord de l’autoroute. Être laissé pour mort alors que l’on demande à des individus de descendre du bus que l’on conduit, ce n’est pas comme succomber à un mauvais coup donné sans intention de tuer. Être traversé d’un coup de couteau alors que l’on défend sa compagne, ce n’est pas comme un accident domestique.

Toutes les violences ne se valent pas.

Faire preuve de relativisme, c’est bafouer la mémoire de nos compatriotes qui auraient dû, oui, avoir la chance de mourir autrement que massacrés, défigurés, transpercés.

Nous ne voulons pas les noms pour avoir le plaisir de tout mettre sur le dos de l’immigration. Lorsque les noms d’agresseurs ou de meurtriers sont à consonance étrangère, nous ne sautons pas de joie et n’hurlons pas aux fenêtres. Nous ne voulons pas les noms pour innocenter toute la France blanche ou d’origine européenne. Oui, nous savons que des Jean-Claude, des Christine ou des Kévin figurent aux pages des assassins, des violeurs ou des harceleurs.

Nous ne voulons pas les noms pour prétendre que les meurtres, les agressions, les tabassages ou les viols sont des inventions étrangères qui nous étaient totalement inconnues jusqu’à récemment dans l’Histoire. Mais on ne nous fera jamais gober que la mutation si rapide et si violente de la composition démographique de notre pays est sans incidence aucune sur les rapports qui régissent ses habitants.

Oui, la politique migratoire suivie depuis des décennies est en cause. Elle l’est évidemment. Elle a déstabilisé notre société dans ses profondeurs. Elle a ébranlé notre cohésion si durement obtenue de manière quasi irrémédiable. Elle a réveillé des schémas et des réflexes anthropologiques dont nous avions – certainement à raison – voulu lentement nous débarrasser. Elle a voulu mettre « ensemble » mais a jeté face à face des manières de vivre, de voir, de concevoir, de sentir, de ressentir, de juger, de tolérer, d’interpréter souvent totalement étrangères, et quasiment toujours incompatibles.

Qu’une société ethniquement homogène ne soit pas synonyme d’absence totale de criminalité et d’ « incivilités » ne doit pas nous empêcher d’affirmer haut et fort la chose suivante : une société multiethnique devenue multiculturelle et même multicivilisationnelle est génératrice d’une plus grande propension à la violence. Ceci d’autant plus lorsque le peuple historique a non seulement appris à haïr ce qu’il est, à rendre haïssable ce qu’il a été, mais aussi à rendre légitime la haine que peuvent lui porter certaines communautés travaillées par le militantisme politique ou religieux.

Nous voulons les noms car s’ils sont tus, c’est pour maintenir endormies des réactions qui non seulement sont saines et naturelles, mais par-dessus tout légitimes. Nous voulons les noms car s’ils les taisent, c’est pour éviter à tout prix que nous puissions un jour tirer un trait sur le suicide historique que constitue l’immigration de masse.

Nous ne tolérerons plus les physiologistes des faits divers qui dissimulent l’identité de certains coupables alors qu’ils étalent volontiers le CV et la vie privée d’autres à des fins idéologiques.

#OnVeutLesNoms

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