Stop au laxisme envers les bloqueurs

blocages de l'extreme gauche à tolbiac

Mardi 11 décembre le centre Pierre Mendès France et le centre Sorbonne ont été fermés par l’administration. Aujourd’hui une pseudo « assemblée générale » (AG) réunie au centre René Cassin a vote le blocus du site. Alors que les partiels se rapprochent à grands pas, cette situation se répète désormais chaque jour et perturbe le bon déroulement de notre année.

La présidence et le rectorat préfèrent fermer de manière préventive nos centres d’étude plutôt que de risquer l’occupation des locaux par des militants d’extrême-gauche. Un choix qui pénalise plus de 42.000 étudiants en raison de l’impuissance volontaire contre quelques nostalgiques de feu la « Commune libre de Tolbiac ». Nous nous opposons à cette attitude passive qui consiste à subir plutôt qu’agir ! L’an dernier l’extrême gauche s’est déjà engouffrée dans cette passivité de la présidence, profitant des appels au « dialogue » du président pour poursuivre le saccage des locaux de Tolbiac. Ces « bloqueurs » n’ont été ni sanctionnés ni contraints à rembourser ce qu’ils ont dégradé, ni même été exclus de l’université. Ils n’ont donc aucune crainte à l’idée de récidiver.

Le laxisme doit cesser. Les centres doivent rester ouverts et leur sécurité assurée. Les perturbateurs doivent être identifiés, sanctionnés voire expulsés. Mettons en place le principe du « casseur-payeur » pour installer une dissuasion certaine, et faisons usage si nécessaire du référendum en ligne pour exposer la position minoritaire des « bloqueurs ».

Au nom de la liberté d’étudier, la Cocarde Sorbonne s’oppose aux blocages.

Communiqué publié par

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