Justice pour Lola

Un soir pluvieux d’un vendredi d’octobre, à quelques jours du funeste anniversaire de l’assassinat de Samuel Paty, au fin fond d’une cour d’un immeuble quelconque du XIXème, un nécessiteux fouille les poubelles et examine les divers déchets jonchant le sol espérant y trouver quelque objet de valeur ou de la nourriture. Quand soudain, il trouve là une boîte en plastique opaque déposée dans ce débarras, curieux, il l’ouvre et dégageant le drap qui cache ce qui semble être un corps, il est confronté à une vision infâme. Une pauvre fillette recroquevillée, ligotée, inerte, diaphane, le corps éprouvé par des heures de tourments de toute sorte, parsemé d’inscriptions mystérieuses, est lovée là, au milieu des immondices.

Misérable carcasse, charogne d’ange à qui ses prédateurs ont laissé prendre la poussière après lui avoir dévoré l’âme. Les étoiles sont plus nombreuses cette nuit et brillent plus clairement que jamais pour leur nouvelle arrivante, le Ciel se serait bien passé de ce chérubin de plus. La rose ne sort plus du fumier, elle y gît maintenant…

Inquiets de ne pas la voir rentrer du collège, les parents de la petite Lola contactent la police pour signaler sa disparition. Il s’avère en réalité que l’adolescente est kidnappée, par la ruse ou la force (les enquêteurs le détermineront), et emmenée dans l’appartement de l’un des bouchers. L’autopsie a révélé que cette pauvre fille a subi des sévices multiples qui feraient pâlir n’importe quel réalisateur de film d’horreur, un vrai bingo du vice. Elle est morte d’asphyxie du fait d’un bâillon en scotch placé dans sa bouche, exposant diverses contusions faites aux ciseaux dont une majeure à la gorge, la rendant presque décapitée. Elle a également été victime de viol avec “actes de torture et de barbarie”. La présumée coupable a déclaré lors de l’une de ses auditions : « Je l’ai attrapée par les cheveux, j’ai mis sa tête entre mes jambes […], j’ai eu un orgasme », suite à quoi elle a calmement pris un café en écoutant de la musique, avant de boire un verre de son sang. On a rarement vu une telle démonstration de sadisme, au sens le plus littéral qui soit. Voilà l’ignominie qu’elle a éprouvée, soulignant le caractère particulièrement barbare, absurde, et vicieux de l’acte.

Mais ne croyez pas, braves gens, que cette situation est marginale, elle l’est peut-être par son degré de violence, mais non par sa nature. Les autochtones, doivent aujourd’hui faire face à une violence à sens quasi unique de la part certains allogènes : Lola aurait pu être votre sœur, votre fille, votre nièce… Crime ethnique, francocide, appelez-ça comme vous voulez mais vous ne pouvez ignorer la composante identitaire de cette tuerie, à moins d’être aveugle, débile ou de gauche.   

Les suspects, tous nés en Algérie, sont au nombre de quatre : deux sœurs répondant aux doux noms de Dahbia, la suspecte principale qui est l’objet d’une OQTF depuis 3 ans, et Friha, ainsi que de deux hommes : Amine et Farid, un qui aurait hébergé Lola et l’autre qui aurait transporté son corps avec sa voiture. Fraîchement débarqués de leur zodiac, ces harragas sont désormais poursuivis pour les divers chefs d’inculpation cités ci-dessus. Lors de l’exil des pieds-noirs à l’issue de la guerre d’Algérie, le FLN avait pour slogan : « La valise ou le cercueil », il semble désormais que le FLN ne siège plus à Alger mais à Paris et que la valise est devenue le cercueil.

Comble de l’indignité et merveilleuse illustration de « l’en-même-temps » macronien, à quelques heures d’intervalle notre président rend hommage aux disparus de la manifestation du 17 octobre 61 du FLN, juste avant de recevoir les parents de la petite Lola, à qui il présente des condoléances dérisoires qui disent en creux : « ce qui vous est arrivé est très triste mais je ne ferai absolument rien pour que cela ne reproduise pas ». Simple coïncidence, nul ne le sait, toujours est-il que cela est totalement indécent, outrageux, révoltant à l’égard de cette petite, de sa famille et des français.   

Alors que la critique cinématographique et nos journalistes, absolument objectifs et sûrement pas gauchistes, encensent Athéna, le nouveau film de Romain Gavras, sorti le 2 septembre, où ils y dépeignent la « juste colère » des extra-européens de cité qui les mène à fomenter une sorte de « révolte messianique des racisés contre l’État, les méchants policiers racistes et les fachos ». On y voit à un moment un jeune maghrébin de 13 ans être tué par lesdits fachos, voilà le reflet inversé de notre drame : une petite gauloise de 12 ans massacrée par des algériens. 

En effet, lorsque l’on tente d’ignorer le réel, celui-ci se charge de revenir à nous et avec élan, car oui, les crimes violents, les actes crapuleux sont très souvent le fait d’extra-européens (disons-le clairement : des subsahariens, des maghrébins ou des moyen-orientaux) contre des autochtones, ou du moins des européens. L’oblation volontaire et indifférente de notre peuple sur l’autel de la tolérance, voilà ce à quoi nous faisons face.

Pire, dénoncer ces faits nous font, selon le qu’en dira-t-on, basculer dans la récupération politique : mais il ne s’agit pas d’instrumentalisation, mais de colère légitime contre les responsables, ceux qui ont permis que cette horreur en plein Paris se produise, et les coupables, ceux qui ont perpétré cette sinistre besogne. Notons en passant que pour ce qui est de leurs fausses victimes et vrais délinquants (Théo, Adama et consorts), tout le monde doit immédiatement pratiquer l’à-plat-ventrisme et la pleurniche excessive sous peine d’être taxé de suprémaciste blanc ou de fasciste. La meilleure manière de lui rendre hommage ne serait-t-elle pas d’empêcher qu’un drame similaire se reproduise ?

Au fond, cette affaire ne diffère pas tellement de ce qui peut se passer quotidiennement sur notre sol. Ce qui a retenu l’attention du public, c’est le caractère particulièrement barbare de ce crime, qui se situe à l’intersection de plusieurs problématiques qui pourrissent notre beau pays : immigration sauvage, justice laxiste, insécurité flagrante et grand banditisme… Elle est un des symptômes de la putréfaction du corps français, déjà bien ravagé par la gangrène. 

Nous adressons nos condoléances, notre compassion et nos pensées émues aux proches de Lola : sa famille, ses amis, ses camarades… et une prière pour l’innocente meurtrie. 

 

Baptiste Boutellier

Résumé
La valise est le cercueil
Article
La valise est le cercueil
Description
L'affaire Lola marque les esprits des Français par la cruauté d'un acte barbare qui se situe à l’intersection de plusieurs problématiques qui pourrissent notre beau pays : immigration sauvage, justice laxiste, insécurité flagrante et grand banditisme… Elle est un des symptômes de la putréfaction du corps français, déjà bien ravagé par la gangrène. 
Auteur
Publié par
COCARDE ÉTUDIANTE

L’article vous a plu ?

Notre association est le dernier rempart idéologique aux théories de l’extrême gauche dans les universités: islamisme, indigénisme, haine de la France et de l’homme blanc, etc. Nous menons ce combat seuls: La Cocarde Etudiante est une association indépendante de tout parti politique, elle ne touche, contrairement à ceux qu’elle dénonce, aucune subvention de l’Etat. En nous faisant un don vous nous permettez d’acheter le matériel nécessaire à notre militantisme: tracts, affiches, autocollants, banderoles et même ce site internet. Sans le soutien financier d’un petit nombre de donateurs nous n’existerions plus aujourd’hui. 

Commentez

Rejoignez-nous

Abonnez-vous à notre compte Instagram pour suivre la vie de notre mouvement au quotidien.